Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je passais à la télévision et je l'ai dit : "Je n'aime pas les riches, j'en conviens, je n'aime pas les riches". Ce fut comme un cri du coeur trop longtemps étouffé. C'est MAM qui m'a énervé avec ses classes moyennes, ces gens qui veulent devenir riches en travaillant, alors qu'ils pourraient se contenter d'être fonctionnaires, comme tout le monde. Comme moi.
Quel bonheur ! J'ai senti l'ivresse libératrice du souffle révolutionnaire. Je me suis enfin libéré du carcan petit-bourgeois de la social-démocratie. Besançenot et Arlette n'ont qu'à bien se tenir. Un nouveau Ché est né, il s'appelle François. Tremblez sales riches !
Les commentaires récents